Ainsi finit, dans les belles de nuit et les plantes grasses, le vélo d'une voisine, maintenant trop âgée pour l'utiliser.
Ce n'est pas rare de faire de telle rencontre dans Tokyo, vélo pris dans les volubilis ou les herbes folles, laissé dans un coin par quelque "emprunteur" peu scrupuleux ou bien abandonné par son propriétaire.
Dans la ville où tout change si vite, tout bouge sans cesse, dès que l'on s'écarte de la ligne de flux principale, des délaissés de toutes sortes encapsulent le temps qui passe, la nature qui suit son cours.
La ville nous donne à sentir des rythmes différents, des mondes parallèles qui coexistent. Et aussi l'impermanence des choses humaines
Un velo pris dans les volubilis ?
RépondreSupprimerJ arrive !!!
Sebastien